Questions fréquentes
Avant la première consultation
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Comment se déroule une première consultation ?
La première séance est généralement consacrée à l’écoute de votre demande, que ce soit pour vous-même ou pour votre enfant, ainsi qu’à la collecte d’informations importantes pour poser les bases d’un accompagnement adapté. C’est aussi l’occasion pour moi de vous présenter ma manière de travailler et de répondre à vos éventuelles questions.
Pour préparer au mieux cette première rencontre, veuillez s’il-vous-plaît remplir le questionnaire de première rencontre disponible sous l’onglet « Ressources ».
Cela permet un gain de temps et de précision lors de la séance.
Le questionnaire existe en trois versions (enfant, adolescent, adulte).
Il peut être :
- renvoyé par mail à l’adresse suivante : charlinelemairepsy@gmail.com,
- ou imprimé, complété à la main et apporté lors de la première séance.
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Faut-il une prescription médicale pour consulter un psychologue ?
Non, aucune prescription médicale n’est nécessaire pour consulter dans mon cabinet.
Cependant, certaines mutuelles exigent une prescription pour ouvrir le droit à un remboursement partiel des séances.
Je vous conseille donc de vous renseigner directement auprès de votre mutualité pour connaître les conditions exactes de prise en charge.
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Puis-je venir pour une seule séance, sans engagement ?
Oui, tout à fait.
Chaque personne reste libre de venir à son rythme, et aucune séance ne vous engage pour la suite. Il est donc toujours possible d’interrompre le suivi si vous sentez que cela ne vous convient pas ou que le moment n’est pas opportun.
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Pourquoi est-il parfois indiqué que vous ne prenez plus de nouveaux patients ? Que faire alors ?
Il m’arrive d’indiquer sur mon répondeur ou sur ma page Doctoranytime que je ne suis momentanément pas en mesure d’accueillir de nouveaux patients. Cette décision me permet de préserver la qualité et la régularité des suivis en cours, et de rester pleinement disponible pour les personnes que j’accompagne déjà.
Par ailleurs, vous remarquerez que la prise de rendez-vous pour une première consultation n’est pas activée sur ma page Doctoranytime. Ce choix est volontaire : il me permet de gérer personnellement les premières demandes, afin de m’assurer que je puisse vous proposer un accompagnement adapté dans un délai raisonnable.
Si vous souhaitez me faire part d’une demande de premier rendez-vous, vous pouvez simplement m’envoyer un SMS. Je vous répondrai dès que possible pour vous informer des possibilités actuelles, ou vous proposer de reprendre contact un peu plus tard si nécessaire.
Et bien entendu, si le délai ne vous convient pas, vous avez toujours la possibilité de vous orienter vers un(e) autre collègue, selon vos besoins, ou de me recontacter quelques semaines plus tard.
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Comment puis-je m’assurer que les séances soient efficaces ?
Il me tient particulièrement à cœur que chaque séance vous soit utile, qu’elle vous apporte un soulagement, une meilleure compréhension de votre situation, ou des clés concrètes pour avancer. Pour cela, je m’appuie sur un éventail d’outils cliniques et thérapeutiques que j’adapte à vos besoins.
De votre côté, vous pouvez également contribuer activement à l’efficacité des séances grâce à quelques gestes simples :
- Remplir le questionnaire de première rencontre avant la première séance. Il est téléchargeable dans l’onglet « Ressources » du site. Vous pouvez me le renvoyer par e-mail à charlinelemairepsy@gmail.com, ou me l’apporter le jour du premier rendez-vous.
- Noter, entre les séances, vos ressentis, pensées, émotions ou symptômes dans un petit carnet (ou sur votre téléphone). Cela facilite les échanges et permet de ne pas perdre de vue certains éléments importants.
- Apporter en séance tout document utile (bulletins scolaires, journal de classe, anciens bilans, vidéos, etc.) pouvant éclairer la situation, en particulier lorsqu’il s’agit d’un enfant ou d’un adolescent.
- Essayer les petits exercices ou pistes de réflexion proposés entre les séances. Ils sont pensés comme des prolongements du travail thérapeutique, dans le respect de votre rythme.
Enfin, n’hésitez jamais à exprimer ce que vous ressentez par rapport au suivi lui- même: ce qui vous aide, ce qui vous questionne ou ce que vous souhaiteriez explorer autrement.
La qualité du lien thérapeutique et la collaboration entre nous sont au cœur du processus.
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Comment prendre rendez-vous ?
Pour les nouveaux patients: la prise de rendez-vous se fait exclusivement par SMS au 0494/65.26.33. Cela me permet de gérer les demandes plus facilement et d’éviter les sollicitations éparses sur les différents réseaux sociaux, auxquels je ne peux pas toujours répondre dans des délais raisonnables.
Pour les patients déjà en suivi: si vous êtes déjà en suivi, vous pouvez prendre rendez-vous :
- directement en séance,
- par SMS,
- ou via ma page Doctoranytime, qui permet de réserver plusieurs créneaux à l’avance, selon vos disponibilités.
À noter : les horaires extra-scolaires (mercredis après-midi, soirées et week- ends) sont réservés aux enfants et adolescents et sont souvent rapidement complets. Je vous invite donc à anticiper au maximum la planification de vos séances.
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Je ne suis disponible qu’en soirée, est-il néanmoins possible de prendre rendez-vous avec vous ?
Les contraintes professionnelles rendent parfois difficile la prise de rendez-vous en journée.
Toutefois, en tant que psychologue travaillant aussi avec des enfants et des adolescents, je réserve les plages horaires extra-scolaires (après 15h, les mercredis après-midi et les week-ends) à ces publics et à leurs parents.
Les consultations pour adultes ont donc lieu en semaine, entre 9h et 15h.
Pour les enfants ou les adolescents, si les créneaux extra-scolaires sont complets, il est possible de les recevoir en journée, et une attestation de présence peut être remise pour l’école, si nécessaire.
Merci pour votre compréhension.
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Accès au cabinet
L’accès au cabinet se fait sur le côté du bâtiment (porte arrondie). Prière de bien vouloir sonner avant d’entrer. Une salle d’attente et des toilettes sont à votre disposition.
Consultations pour enfants et adolescents
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Comment préparer un enfant ou un ado à venir consulter ?
Il est important que votre enfant ou adolescent comprenne pourquoi il vient et qu’il se sente respecté dans cette démarche.
- Pour un jeune enfant, il suffit souvent de dire simplement qu’il va « voir une dame qui aide les enfants à comprendre ce qu’ils ressentent », ou encore « une personne avec qui on peut parler, dessiner ou jouer quand quelque chose est difficile ». Il n’est pas nécessaire d’entrer dans trop de détails, mais de rassurer : il n’y a ni obligation, ni jugement, ni « bonne ou mauvaise réponse ».
- Pour un adolescent, il est préférable d’être honnête: expliquez que vous avez remarqué certaines difficultés, que vous êtes là pour le soutenir, et que voir un psychologue pour quelques séances peut l’aider à mieux comprendre ce qu’il vit, à mettre des mots ou à trouver des outils.
- Dans tous les cas, évitez de présenter la consultation comme une punition ou une obligation. Il est toujours préférable de parler de cette rencontre comme une aide, un droit, une ressource.
Je prends toujours le temps, lors de la première séance, d’expliquer le cadre, de répondre aux questions et de m’adapter au rythme de l’enfant ou du jeune. La relation se construit dans la confiance, pas à pas.
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Doit-on ou peut-on être présent pendant les séances avec son enfant ?
Lors de la première séance, la présence d’au moins un parent est indispensable. Elle permet de faire le point sur la situation, de recueillir les informations importantes et de poser ensemble les bases du suivi. C’est à ce moment-là que nous décidons ensemble des modalités qui conviendront le mieux pour la suite :
- suivi individuel de l’enfant ou de l’adolescent,
- séances de guidance parentale,
- ou un mélange des deux, selon les besoins.
Pour les enfants de moins de 6 ans, je privilégie généralement un travail avec les parents, car c’est souvent à travers la relation parent-enfant que les évolutions les plus durables peuvent se mettre en place.
Pour les plus grands, y compris les adolescents, l’implication parentale reste précieuse et peut continuer sous forme de points réguliers ou de séances dédiées à la guidance.
Si votre enfant est particulièrement anxieux ou insécurisé à l’idée de venir, il est tout à fait possible de procéder par étapes : commencer ensemble dans le bureau, puis progressivement passer à une présence dans la salle d’attente, selon son rythme et son confort.
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Travaillez-vous aussi avec les parents ?
Oui, le travail avec les parents fait pleinement partie de ma pratique, que ce soit dans le cadre d’un accompagnement d’enfant, d’adolescent ou parfois même en soutien à la parentalité seul.
Lorsque l’enfant ou l’adolescent est en suivi, les parents sont des partenaires essentiels. Ils connaissent mieux que quiconque le quotidien de leur enfant et peuvent apporter des repères précieux pour mieux comprendre ce qui se joue. Dans ce cadre, je propose régulièrement des temps de guidance parentale pour aider à décoder certains comportements, soutenir la communication, ou mettre en place des outils concrets à la maison. Ce travail vise à renforcer le sentiment de compétence parentale, à apaiser les tensions, et à réinstaurer un climat plus serein et sécurisant pour toute la famille.
Il peut également arriver que le suivi se fasse uniquement avec les parents, notamment pour les jeunes enfants, ou lorsque les difficultés peuvent être abordées efficacement par ce biais.
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Nous sommes séparés. Que devons-nous savoir sur la consultation de notre ou nos enfants ?
En Belgique, l’autorité parentale est généralement conjointe, même en cas de séparation ou de divorce. Cela signifie que, sauf décision judiciaire contraire, les deux parents doivent être informés et donner leur accord pour la mise en place d’un suivi psychologique de leur enfant mineur.
Concrètement, je vous demande, dans la mesure du possible :
- que les deux parents soient informés du suivi envisagé,
- et qu’ils marquent leur accord, même si un seul d’entre eux accompagne l’enfant en séance.
En cas de désaccord ou de contexte familial conflictuel, chaque situation est analysée avec prudence, dans le respect du cadre légal et de l’intérêt supérieur de l’enfant. Si une situation d’urgence psychique ou de mise en danger est identifiée, la loi permet au professionnel d’intervenir rapidement, tout en assurant une traçabilité dans le dossier.
La loi belge prévoit également qu’un mineur peut exprimer seul le souhait de consulter un psychologue, s’il est jugé capable de discernement, c’est-à-dire s’il comprend ce qu’implique une démarche thérapeutique. Cela dépend de son âge, de sa maturité et de la situation. Dans ce cas, et selon les circonstances, une consultation peut être proposée, dans le respect de la confidentialité et en tenant compte de l’intérêt supérieur de l’enfant. Le rôle des parents n’est pas exclu, mais il peut être ajusté afin de garantir un espace sécurisant et libre de parole.
Chaque situation est évaluée avec prudence, éthique et bienveillance, en dialoguant au mieux avec l’ensemble des personnes concernées.
Je suis bien entendu disponible pour discuter avec vous de la meilleure manière d’organiser les choses, dans un esprit de co-construction, de respect mutuel et de protection de l’enfant.
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Que faire si mon enfant/adolescent ne veut pas venir consulter ?
Il est tout à fait courant qu’un enfant ou un adolescent n’ait pas envie de consulter un psychologue. Cette réticence ne signifie pas qu’il n’en a pas besoin, mais souvent qu’il ne comprend pas encore le sens de la démarche, qu’il a peur d’être jugé, ou qu’il ressent simplement le besoin de garder le contrôle sur ce qu’il vit.
Pour un enfant, la crainte vient souvent de l’inconnu. Pour un adolescent, cela peut toucher à son besoin d’autonomie et d’intimité.
Voici quelques pistes pour l’y amener plus sereinement :
- Expliquez-lui simplement qu’il s’agit d’un lieu où il pourra parler librement, dessiner, jouer ou simplement se sentir écouté.
- Évitez de présenter la consultation comme une punition ou une obligation liée à un "problème". Parlez plutôt de soutien, d’écoute, ou d’une aide pour mieux vivre certaines choses.
- Proposez-lui de venir une seule fois, sans engagement, « juste pour voir ».
- Offrez-lui un peu de choix, comme celui d’être accompagné au début de la séance, ou non.
- Il est aussi important de faire attention aux mots choisis. Présenter la consultation comme « quelque chose pour les fous » ou comme une preuve que « quelque chose ne tourne pas rond » peut être très décourageant voire aggraver les choses, surtout pour un adolescent. Consulter un psychologue n’est pas un signe de faiblesse ou de folie, mais une démarche de soin, de réflexion et de soutien. D’ailleurs, je travaille bien plus souvent avec des personnes en difficulté qu’avec des personnes « folles » — une représentation ancienne, qui ne correspond pas à la réalité de mon métier.
Et surtout : ne le forcez pas à venir s’il s’y oppose fortement. Forcer un enfant ou un adolescent à consulter peut être contre-productif. Cela risque d’installer de la méfiance ou de bloquer la relation thérapeutique avant même qu’elle puisse s’établir.
Si votre enfant ou adolescent refuse catégoriquement, il est tout à fait possible de venir seul, en tant que parent, au moins pour une première rencontre.
Ce temps d’échange vous permettra :
- de faire le point sur la situation,
- d’obtenir des pistes concrètes pour mieux comprendre ce qui se joue,
- et parfois, d’amorcer un changement dans la dynamique familiale… ce qui peut par la suite encourager le jeune à venir de lui-même, à son rythme.
Je suis là aussi pour vous accompagner, vous soutenir dans vos questions, et vous aider à poser les premiers jalons d’un mieux-être, même si l’enfant ou l’adolescent ne souhaite pas (encore) s’impliquer directement dans le suivi.
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Proposez-vous un soutien en cas de harcèlement scolaire ?
Oui, j’accompagne régulièrement des enfants et des adolescents confrontés à des situations de harcèlement scolaire, qu’il s’agisse de harcèlement actuel, passé, en ligne, ou de violence relationnelle persistante.
L’objectif est de les aider à mettre des mots sur ce qu’ils vivent, travailler les émotions liées, renforcer leur estime d’eux-mêmes, développer des compétences spécifiques pour contrer ce harcèlement et retrouver un sentiment de sécurité intérieure.
Selon l’âge et les besoins, le travail peut se faire avec l’enfant ou l’adolescent, avec les parents, ou les deux.
Méthodes, bilans et prises en charge
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Faites-vous des tests de QI ?
Non, je ne réalise pas de bilans de type QI ou bilan cognitif.
Lorsque cela s’avère nécessaire, je réoriente vers un(e) collègue neuropsychologue spécialisé(e) dans ce type d’évaluation.
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Quels types de bilans psychologiques proposez-vous ?
Je propose principalement des bilans psychoaffectifs et des bilans psychodiagnostiques.
Ces évaluations permettent de mieux comprendre le fonctionnement émotionnel, relationnel et psychique d’une personne, et de formuler des hypothèses cliniques afin d’orienter au mieux la prise en charge.
En tant que psychologue, je ne pose pas de diagnostic médical, mais je peux faciliter et éclairer cette réflexion diagnostique, notamment en vue d’une éventuelle confirmation par un médecin, un pédopsychiatre ou un psychiatre.
À noter : le bilan psychologique représente un investissement en temps et en matériel.
Le matériel utilisé pour les bilans (tests standardisés, outils projectifs, grilles d’analyse, etc.) a un coût d’achat parfois élevé, et son utilisation exige également un temps de passation, d’observation, d’analyse approfondie et, le cas échéant, de rédaction d’un compte rendu.
C’est pourquoi le tarif d’un bilan peut varier selon la complexité de la demande, l’âge de la personne, le nombre de séances nécessaires et les outils mobilisés.
Avant tout engagement, nous prendrons le temps d’en discuter ensemble afin de clarifier le cadre, la durée estimée et le coût total du bilan.
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Prescrivez-vous des médicaments ?
Non. En tant que psychologue, je ne suis pas habilitée à prescrire des médicaments. Seuls les médecins (généralistes, psychiatres ou pédopsychiatres) peuvent le faire.
Organisation des rendez-vous
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Combien de temps dure une séance ?
En général, une séance dure environ 60 minutes.
Pour les jeunes enfants, qui ont parfois plus de difficulté à rester concentrés longtemps, la séance peut être légèrement plus courte (environ 45 minutes), afin de respecter leur rythme et leurs besoins.
Dans le cadre de certains bilans psychologiques, des séances plus longues peuvent exceptionnellement être proposées, en fonction des outils utilisés et du travail à réaliser. Cela est toujours discuté au préalable avec vous.
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À quelle fréquence faut-il venir ?
La fréquence des séances est toujours adaptée à votre situation personnelle. Il n’y a pas de rythme fixe imposé.
En général, je propose une base d’une séance tous les 15 jours, ce qui permet d’avancer de manière régulière tout en laissant le temps d’intégrer les réflexions entre les rencontres.
Mais selon les besoins:
- le rythme peut être hebdomadaire en cas de souffrance aiguë, de crise ou de demande de soutien plus intensif,
- ou mensuel quand les choses vont mieux, que le travail est déjà bien avancé ou si des contraintes financières ou organisationnelles l’exigent.
- Il est également possible de consulter plus ponctuellement, par exemple pour éclaircir une question, faire un point ou bénéficier d’un regard extérieur à certains moments-clés.
Nous décidons ensemble de ce qui vous convient le mieux, au fil de l’évolution du suivi.
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Combien de temps dure un accompagnement ?
La durée d’un accompagnement est très variable et dépend toujours de votre demande, de votre rythme et de vos objectifs.
En général, un suivi s’étend sur environ 5 à 10 séances, mais certaines personnes souhaitent un travail plus bref et ciblé, tandis que d’autres choisissent un accompagnement plus régulier, dans une logique de prévention, avec des rendez- vous mensuels ou espacés.
Mon approche privilégie toujours la thérapie la plus courte possible selon votre demande, en restant à l’écoute de votre besoin réel. Nous faisons régulièrement le point ensemble pour adapter le suivi à votre situation du moment, sans obligation ni pression.
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Comment annuler ou déplacer un rendez-vous ?
Vous pouvez annuler ou déplacer un rendez-vous en m’envoyant un SMS ou via la plateforme Doctoranytime.
Dans une optique de solidarité entre patients et avec moi, je vous demande, sauf cas de force majeure, de le faire au minimum 24 heures à l’avance. Cela me permet de réorganiser l’agenda et d’offrir éventuellement ce créneau à une personne en attente ou en situation urgente.
Je comprends que des imprévus peuvent survenir. Toutefois, pour pouvoir continuer à assurer une prise en charge de qualité pour chacun, je me réserve le droit de réclamer le paiement des séances non annulées dans les délais, sauf cas exceptionnel.
Je ne peux en effet pas absorber seule toutes les circonstances extérieures qui justifieraient une absence ou un empêchement de dernière minute.
Merci pour votre compréhension et pour le respect de ce cadre, qui contribue au bon fonctionnement du suivi de chacun.
Tarifs, remboursements et paiements
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Quels sont vos tarifs et quelles sont les modalités de paiement ?
En 2025, le tarif d’une consultation est de 60 €.
Ce montant peut être partiellement remboursé par votre mutuelle, selon ses propres conditions. N’hésitez pas à vous renseigner directement auprès d’elle pour connaître les modalités précises de remboursement.
Pour les bilans psychologiques, les tarifs sont établis sur mesure, en fonction de la demande, du matériel utilisé et du temps nécessaire (passation, analyse, restitution). Nous en discutons ensemble avant de commencer.
Le paiement peut se faire en liquide ou via une application de paiement avec QR- code (Payconiq, app bancaire, etc.).
Je ne dispose pas de terminal Bancontact.
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Les tarifs sont-ils susceptibles d’évoluer ?
Oui, comme dans toute activité professionnelle, les tarifs peuvent être susceptibles d’évoluer à certains moments.
Ceux-ci doivent permettre non seulement de couvrir les frais liés au cabinet (entretien, chauffage, confort, matériel pour les séances, outils de testing, etc.), mais aussi de soutenir ma formation continue. Je me forme régulièrement pour rester au plus près des approches thérapeutiques et diagnostiques actuelles, afin de vous offrir un accompagnement de qualité, actualisé et rigoureux.
Toute évolution tarifaire est toujours annoncée à l’avance, avec clarté et respect.
Et surtout : si une difficulté financière se présente, je vous invite à m’en parler librement. Le tarif ne doit jamais devenir un obstacle à la poursuite d’un soin adapté.
Cas particuliers et urgences
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Je suis dans une situation d’urgence. Que faire ?
En cas d’urgence psychologique, vous pouvez m’envoyer un SMS au 0494/65.26.33.
Je fais toujours de mon mieux pour intercaler les situations urgentes dans mon agenda. Toutefois, si je parviens à vous proposer un créneau rapproché, il est essentiel de s’y présenter, car une urgence implique une mobilisation rapide. Sans cela, je ne pourrai plus considérer la demande comme prioritaire par la suite.
Si aucun rendez-vous proche n’est possible ou que je suis en congé, il est important de ne pas rester seul avec ce que vous vivez. Dans ce cas, je vous invite à :
- Contacter votre médecin traitant,
- Vous rendre au service d’urgences psychiatriques le plus proche :
- CHU UCL Namur (site Godinne) – 081 42 38 11
- Clinique Saint-Luc Bouge – Urgences psychiatriques adultes – 081 20 91 11
- Lits de crise pédopsychiatriques en province de Namur
- ou un autre hôpital proche de chez vous,
- Appeler un service d’aide et d’écoute disponible 24h/24:
- Écoute-Enfants (103 – pour les enfants/ados)
- Télé-Accueil (107 – pour toute personne en détresse)
- SOS Parents (0471 41 77 47 – écoute gratuite pour les parents)
- Centre de Prévention du Suicide (0800 32 123 – Numéro d’urgence gratuit, anonyme et ouvert 7j/7, 24h/24 – pour toute personne en détresse ou s’inquiétant pour un proche)
Le plus important est de trouver un professionnel à qui parler rapidement. Vous n’êtes pas seul(e), et il existe des ressources pour vous accompagner dans les moments les plus difficiles.
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Proposez-vous des consultations en ligne ?
De manière générale, je privilégie les consultations en présence, car elles permettent une richesse d’échange, d’observation et de relation qu’il m’est souvent difficile à retrouver à distance (et cela m’est très personnel).
C’est pourquoi je n’organise des consultations en ligne que de manière exceptionnelle, et uniquement lorsque cela s’avère nécessaire et ponctuel (déplacement, maladie, situation particulière).
Si vous pensez être dans ce cas, n’hésitez pas à m’en parler, et nous verrons ensemble ce qui est possible.
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Est-ce confidentiel, même pour les mineurs ?
Oui, tout ce qui est dit en consultation est soumis au secret professionnel, y compris pour les enfants et les adolescents.
Le respect de la confidentialité est essentiel pour que chacun, quel que soit son âge, puisse s’exprimer librement dans un espace sécurisé et sans jugement.
Pour les mineurs, je veille à instaurer une relation de confiance avec les parents tout en respectant l’intimité psychique de l’enfant ou de l’adolescent.
Des échanges avec les parents peuvent avoir lieu, mais jamais sans l’accord de l’enfant, sauf en cas de danger ou de risque grave.
Si une situation nécessitait une intervention ou un partage d’information, je m’engage toujours à en parler d’abord avec l’enfant ou l’adolescent, dans le respect de son rythme et de sa compréhension.
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J’ai essayé de vous appeler sans succès, est-ce normal ?
Oui, c’est tout à fait normal. En tant que psychologue, je suis souvent en consultation tout au long de la journée, ce qui ne me permet pas de répondre aux appels en direct. Je privilégie donc les messages écrits (SMS), plus faciles à consulter et à traiter entre deux rendez-vous.
Si vous avez une question, une demande de rendez-vous ou un message à me faire parvenir, le plus simple est de m’envoyer un SMS au 0494/65.26.33. Je vous répondrai dès que possible, en dehors des temps de consultation et de formation.
Merci pour votre compréhension !
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Prenez-vous des stagiaires en observation ou formation ?
Non, je ne prends pas de stagiaires dans le cadre de mon activité actuelle.
Cela s’explique par des raisons organisationnelles ainsi que par le souci de préserver la confidentialité et le confort des patients, qui bénéficient ici d’un accompagnement dans un cadre intimiste et personnalisé.
Si vous êtes à la recherche d’un stage, je vous encourage à vous tourner vers des structures plus collectives telles qu’un hôpital, une maison médicale, une ASBL ou un service de santé mentale.
Ces milieux offrent souvent une équipe pluridisciplinaire, et un encadrement plus adapté aux exigences de formation.
Merci pour votre compréhension et votre intérêt pour le métier !